dimanche 30 avril 2017

POÈMES PIEUX 8

291

« Je ne comprends pas comment on peut penser à la Reine des Anges, 
et à tout ce qu’elle eut à souffrir pendant la sainte enfance de Jésus, 
sans rendre grâces à saint Joseph 
pour les secours qu’il a prêtés durant ce temps 
à la Mère et au Fils. »

(Sainte Thérèse d’Avila)

  LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

 

TOUT sur la SAINTE FAMILLE, ici :
& sur SAINT JOSEPH, là :

 

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DIMANCHE du BON PASTEUR
(2ème après Pâques) 


 Ô Jésus, 
faites que je sois vôtre, 
tout vôtre, 
toujours vôtre !

Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :

https://youtu.be/gFwRyv4g25E

(exemple de site de téléchargement :  

https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter )

 
Quoi ! Dieu, qui t’aime tant,
Perdra-t-il son temps ?
Quoi ! Dieu, qui t’aime tant,
Perdra-t-il son Sang ?
 

MAI :

MOIS de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR

 par un missionnaire de Notre-Dame du Sacré-Cœur

PDF à TÉLÉCHARGER ici :
https://gloria.tv/post/PnezhLNejFov1y76W2CjGAgwD


  NEUVAINE à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR,

à partir d'ici : 
https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/05/dernieres-mises-en-ligne-ste-giselle.html





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POÈMES PIEUX 8




351- « Mon Cœur, dès le commencement
Vous aima tous infiniment
Puisque moi, si riche et si puissant
Je naquis en l’étable si pauvrement. »

352- « Mon Cœur vous aima si passionnément
Que pour vous je souffris patiemment
Les fouets, les clous et tous les tourments
Et jusqu’à mon crucifiement. »

353- « Mon Cœur vous aime si ardemment
Qu’une fois ressuscité et vivant
Je vous attire dans le Firmament
Si vous le voulez évidemment. »

354- À Jésus par Marie !
Telle est la devise
Approuvée par l’Église
Du grand saint Louis-Marie.

355- La dévotion est une douce chose
Qui éclôt comme la rose
À mesure qu’on la pratique :
Pratiquez-là, bons catholiques.

356- La dévotion doit être intérieure
En même temps qu’extérieure :
Ce sont là ses deux pieds
Avec lesquels il faut marcher.

357- L’abbé Gravier a fait
Un beau cantique, ci-fait,
Sur la Pucelle d’Orléans :
Sur l’Ave Maria est ce chant.

358- La prière est toujours bonne
Lorsque l’intention est bonne
Et qu’elle est intérieure
En même temps qu’extérieure.

359- Soir et matin il faut prier,
Et aussi pendant la journée :
Il faut prier à toute heure
Dans la joie comme dans les pleurs.

360- Dieu soit béni dans tous les temps,
Dieu soit béni dans tous les lieux,
Dieu soit béni par tous les gens
Comme le bénissent les bienheureux !

361- Un bon acte de contrition
Remet tous les péchés,
Mais à la condition
De vouloir se confesser.

362- Si nous n’aidons pas les âmes
Abandonnées dans le Purgatoire,
Il arrivera que notre âme
Sera délaissée dans ce cachot noir.

363- Jésus vivant en Marie,
Voilà la sainte Incarnation ;
C’est pourquoi nous allons
À Jésus par Marie.

364- Ton Scapulaire autour du cou,
Porte-le bien toujours,
Et tu arriveras un jour
Où t’attend ton saint Époux.

365- Je suis le pauvre d’esprit
Qui chante : « Dieu soit béni ! »
Oui, et dans tous les temps
Et par toute sorte de gens.

366- Faisons notre salut :
La chose est nécessaire,
Le conseil salutaire !
Ne cherchons rien de plus.

367- La cantate est un chant sacré,
Un peu comme nos cantiques :
En la rendant catholique
Nous pouvons nous l’approprier.

368- Dire : « Dieu soit béni ! »
C’est faire la Volonté
De Jésus et Marie :
Voilà la vérité.

369- La vertu d’espérance
Marche avec la confiance
Et la persévérance
Dans la sainte constance.

370- Hénoch et Élie reviendront
Combattre le fils du dragon
Et relever la sainte Église,
Chose par Jésus-Christ promise.

371- L’Ave maris Stella
Est une belle prière ;
Marie est la lumière
Qui au Port nous conduira.

372- Adieu pour jamais
À ce monde trompeur
Car le vrai bonheur,
C’est l’Amour parfait.

373- Sur cette colline, Bernadette
A vu ce que nous ne voyons pas
Parce que nous sommes ici-bas
Tremblants et chargés de dettes.

374- Les Saints et les Anges nous viennent
À tout instant tirer de peine.
Mais hélas, nous ne le savons pas,
Puisqu’enfouis dans tous nos fatras.

375- Le traditionnel est celui
Qui aime la Tradition,
Ne s’occupant pas de lui
Mais de ce que pour l’Église est bon.

376- Lourdes, vous connaissez ?
Bien souvent j’y suis allé,
Dans la piscine m’y suis baigné
Et Marie m’a réconforté.

377- Les 15 mystères du Rosaire
Doivent faire nos délices :
Ils nous enlèveront nos vices
En nous conduisant au Calvaire.

378- À Massabielle, je me suis
Souvent rendu. Vous aussi,
Rendez-vous-y, et vous verrez
Que vous y serez réconfortés.

379- Je ne suis pas un centenaire.
Arriverez-vous à cent ans ?
Vous comme moi finirons en
[Préparons-nous bien !] terre.

380- Connaissez-vous Fatima ?
J’y suis allé une fois,
Mais d’une façon fugitive !
Hélas ! Pourtant là est l’eau vive.

381- La vraie offrande d’amour,
C’est Notre-Seigneur Jésus-Christ
Que nous voyons tous les jours
En contemplant le Crucifix.

382- Saint Joseph protège le Carmel
Comme a voulu sainte Thérèse,
Et la petite Thérèse
Le protège aussi du Ciel.

383- On peut dire mission accomplie
Quand on fait bien ce que l’on doit,
Autrement dit son devoir d’état :
Voilà ce que désire Jésus-Christ.

384- La véritable offrande d’amour,
C’est le Sacré-Cœur de Jésus
Qui pour nous s’est ouvert un jour
Et qui ne se refermera plus.

385- La véritable humanité
N’est pas l’humanitarisme,
Mais bel et bien la charité
Qui est le cœur du christianisme.

386- Le véritable service
Ne fait aucun préjudice :
Notre-Seigneur lava
Même les pieds de Judas.

387- Qui nous dira les bienfaits,
Non du quatorze juillet
Mais du seize juillet ?
Chrétiens, rappelez-vous-les.

388- Les pécheurs convertis
Sont la gloire de Marie
Qui brilleront comme des étoiles
Quand se déchirera le voile.

389- Génération détestable,
Tu t’es vautrée dans l’étable !
Reviens à ton Dieu maintenant :
Il t’accueillera sûrement.

390- Voici un tryptique admirable :
Le Cœur de Jésus adorable,
Le Je vous salue Marie
Que le Signe de Croix finit.

391- Rappelons-nous toujours
L’amour de Jésus pour nous
Et nous marcherons tous les jours
Avec lui, comme lui marche avec nous.

392- Barbe-Bleue s’est converti
À la fin de sa vie :
Puissions-nous faire comme lui
Pour aller en Paradis.

393- Toute consécration est bonne,
Que ce soit à la Madone,
Au Sacré-Cœur de Jésus,
Ou à quelque saint : n’hésitez plus !

394- Qui a Jésus a tout ;
Qui a Marie a tout,
Car par Marie l’on parvient
À Jésus l’Enfant divin.

395- Sur le dôme du Sancy,
Quand fus jeune je grimpai ;
Mais il vaut mieux monter
Pour sûr en Paradis.

396- Les coquilles saint Jacques,
Vous appréciez certainement !
Mais le bourdon de saint Jacques
On le porte en pélerinant.

397- Abandonnons-nous à Jésus :
Le Ciel en est le prix ;
Abandonnons-nous à Marie
Pour aller à Jésus.

398- L’autre jour, j’allai visiter
Le bon Monsieur de Kériolet
Qui fut d’abord une brute exécrable
Et qui devint un ange admirable.

399- Les critiques de Marie
Ne verront pas Marie,
À moins qu’ils ne reviennent
De leur absurde haine.

400- Je me portai l’autre jour
Chez sainte Anne, ma Dame,
Pour lui demander secours
Afin de sauver mon âme.


Gilbert Chevalier
l'Aveugle-Vendéen

(09/07/2014 au 27/07/2014)

 

  + POÈMES PIEUX 7

 


https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :

vendredi 28 avril 2017

CONSÉCRATION "À JÉSUS PAR MARIE" (St Louis-Marie Grignion de Montfort)

290

  «  J’ai toujours vu les personnes 
qui ont pour saint Joseph une vraie dévotion, 
faire des progrès dans la vertu. »

(Sainte Thérèse d’Avila)



LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS


TOUT sur SAINT JOSEPH, ici :



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Saint LOUIS-MARIE GRIGNION de MONTFORT,

dévot esclave de JÉSUS et de MARIE,
priez pour nous.

https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/04/saint-louis-marie-grignion-de-montfort-28-avril.html
(28 avril)

 
PRÉPARATION à la CONSÉCRATION 
à la TRÈS SAINTE VIERGE
selon la méthode 
de St Louis-Marie Grignion de Montfort, 
par le R.P. Texier





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CONSÉCRATION 
"À JÉSUS PAR MARIE"

ou la dévotion du Saint Esclavage 
selon Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :

https://youtu.be/rEltZd58Sp8

(exemple de site de téléchargement :  

https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter )


Chant : Jean-Myriam Chevalier (recto-tono pour les 3 prières)
  Mélodie & accompagnement
: Gilbert Chevalier (aveugle) 

(la mélodie des couplets est inspirée d'un concerto de Mozart pour clarinette)

  Enregistrement : 26 avril 2017

 

Liens des 4 différentes parties :

  1- Consécration du Saint Esclavage : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=121 

2- Cantique du dévot esclave de Jésus en Marie : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=638 

3- Oraison à Jésus : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=1971 

4- Oraison à Marie : https://youtu.be/rEltZd58Sp8?t=2276

 

Fichier PDF des Paroles de ces cantique & 3 prières ici :  



- I -


CONSÉCRATION TOTALE et SANS RÉSERVE
de SOI-MÊME
à JÉSUS-CHRIST la SAGESSE INCARNÉE,
PAR les MAINS de MARIE,
dite
Consécration du Saint Esclavage


Formule abrégée de la Consécration montfortaine "À JÉSUS par MARIE" approuvée par le Saint-Siège
       
 Ô Sagesse éternelle et incarnée ! ô très aimable et adorable Jésus, vrai Dieu et vrai homme, Fils unique du Père Éternel et de Marie, toujours Vierge ! je vous adore profondément dans le sein et les splendeurs de votre Père, pendant l’éternité, et dans le sein virginal de Marie, votre très digne Mère, dans le temps de votre Incarnation.
        Je vous rends grâces de ce que vous vous êtes anéanti vous-même, en prenant la forme d’un esclave, pour me tirer du cruel esclavage du démon. Je vous loue et glorifie de ce que vous avez bien voulu vous soumettre à Marie votre sainte Mère, en toutes choses, afin de me rendre, par Elle, votre fidèle esclave. Mais, hélas ! ingrat et infidèle que je suis, je ne vous ai pas gardé les promesses que je vous ai si solennellement faites à mon Baptême. Je n’ai point rempli mes obligations. Je ne mérite pas d’être appelé votre enfant ni votre esclave, et comme il n’y a rien en moi qui ne mérite vos rebuts et votre colère, je n’ose plus par moi-même approcher de votre très sainte et auguste Majesté.
        C’est pourquoi j’ai recours à l’intercession de votre très sainte Mère, que vous m’avez donnée pour Médiatrice auprès de vous, et c’est par ce moyen que j’espère obtenir de vous la contrition et le pardon de mes péchés, l’acquisition et la conservation de la Sagesse.
        Je vous salue donc, ô Marie Immaculée, tabernacle vivant de la Divinité, où la Sagesse éternelle cachée veut être adorée des Anges et des hommes. Je vous salue, ô Reine du Ciel et de la terre, à l’empire de qui est soumis tout ce qui est au-dessous de Dieu. Je vous salue, ô Refuge assuré des pécheurs, dont la miséricorde ne manque à personne. Exaucez les désirs que j’ai de la divine Sagesse, et recevez pour cela les vœux et les offres que ma bassesse vous présente.
        Moi, N…, pécheur infidèle, je renouvelle et ratifie aujourd’hui, entre vos mains, les vœux de mon Baptême : je renonce pour jamais à Satan, à ses pompes et à ses œuvres, et je me donne tout entier à Jésus-Christ, la Sagesse incarnée, pour porter ma croix à sa suite tous les jours de ma vie. Et afin que je lui sois plus fidèle que je n’ai été jusqu’ici,
        Je vous choisis aujourd’hui, [ô Marie], en présence de toute la cour céleste, pour ma Mère et Maîtresse. Je vous livre et consacre, en qualité d’esclave, mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs, et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi et de tout ce qui m’appartient, sans exception, selon votre bon plaisir, à la plus grande gloire de Dieu, dans le temps et l’éternité.

        Recevez, ô Vierge bénigne, cette petite offrande de mon esclavage, en l’honneur et union de la soumission que la Sagesse éternelle a bien voulu avoir à votre maternité ; en hommage de la puissance que vous avez tous deux sur ce petit vermisseau et ce misérable pécheur ; en action de grâces des privilèges dont la sainte Trinité vous a favorisée. Je proteste que je veux désormais, comme votre véritable esclave, chercher votre honneur et vous obéir en toutes choses.
        Ô Mère admirable ! présentez-moi à votre cher Fils, en qualité d’esclave éternel, afin que, m’ayant racheté par vous, il me reçoive par vous.
        Ô Mère de Miséricorde ! faites-moi la grâce d’obtenir la vraie Sagesse de Dieu et de me mettre, pour cela, au nombre de ceux que vous aimez, que vous enseignez, que vous conduisez, que vous nourrissez et protégez comme vos enfants et vos esclaves.
     Ô Vierge fidèle ! rendez-moi en toutes choses un si parfait disciple, imitateur et esclave de la Sagesse incarnée, Jésus-Christ votre Fils, que j’arrive, par votre intercession, à votre exemple, à la plénitude de son âge sur la terre et de sa gloire dans les Cieux. Ainsi soit-il !



- II -

CANTIQUE

du DÉVOT ESCLAVE DE JÉSUS EN MARIE


 

1- Que mon âme chante et publie,
À la gloire de mon Sauveur,
Les grandes bontés de Marie
Envers son pauvre serviteur.

2- Que n’ai-je une voix de tonnerre
Afin de chanter en tous lieux
Que les plus heureux de la terre
Sont ceux qui la servent le mieux !
 
R./ Pour aller à Jésus,
Allons, chrétiens, allons par Marie !
Pour aller à Jésus,
C’est le divin secret des élus.


3- Chrétiens, apprêtez vos oreilles,
Écoutez-moi, prédestinés,
Car je raconte les merveilles
De celle dont vous êtes nés.

4- MARIE est ma grande richesse
Et mon tout auprès de Jésus :
C’est mon honneur, c’est ma tendresse,
C’est le trésor de mes vertus !

5- Elle est mon arche d’alliance
Où je trouve la sainteté ;
Elle est ma robe d’innocence
Dont je couvre ma pauvreté.

6- Elle est mon divin oratoire
Où je trouve toujours Jésus :
J’y prie avec beaucoup de gloire,
Je n’y crains jamais de refus.

7- Elle est ma ville de refuge
Où je ne suis point outragé ;
C’est mon arche dans le déluge
Où je ne suis point submergé.

8- Je suis tout dans sa dépendance
Pour mieux dépendre du Sauveur,
Laissant tout à sa Providence :
Mon corps, mon âme et mon bonheur.

9- Quand je m’élève à Dieu mon Père
Du fond de mon iniquité,
C’est sur les ailes de ma Mère,
C’est sur l’appui de sa bonté.

10- Pour calmer Jésus en colère,
Avec Marie il est aisé ;
Je lui dis : « Voilà votre Mère ! »
Aussitôt il est apaisé.

11- Cette bonne Mère et Maîtresse
Me secourt partout puissamment,
Et quand je tombe par faiblesse
Elle me relève à l’instant.

12- Quand mon âme se sent troublée
Par mes péchés de tous les jours,
Elle est toute pacifiée,
Disant : « Marie, à mon secours ! »

13- Elle me dit dans son langage,
Lorsque je suis dans mes combats :
« Courage, mon enfant, courage !
Je ne t’abandonnerai pas ! »

14- Comme un enfant à la mamelle
Je suis attaché sur son sein :
Cette Vierge pure et fidèle
M’y nourrit d’un lait tout divin.

15- Voici ce qu’on ne pourra croire :
Je la porte au milieu de moi,
Gravée avec des traits de gloire,
Quoique dans l’obscur de la foi.

16- Elle me rend pur et fertile
Par sa pure fécondité ;
Elle me rend fort et docile
Par sa profonde humilité.

17- Marie est ma claire fontaine
Où je découvre mes laideurs,
Où je me délecte sans gêne,
Où je tempère mes ardeurs.

18- Je vais par Jésus à son Père
Et je n’en suis point rebuté ;
Je vais à Jésus par sa Mère
Et je n’en suis point rejeté.

19- Je fais tout en elle et par elle :
C’est un secret de sainteté
Pour être à Dieu toujours fidèle,
Pour faire en tout sa Volonté.

20- Chrétiens, suppléez, je vous prie
À ma grande infidélité :
Aimez Jésus, aimez Marie,
Dans le temps et l’éternité !











Toutes les autres versions (avec les liens de téléchargement)
  :





- III -

ORAISON à JÉSUS,

en action de grâces 

après la consécration du Saint Esclavage





       Mon aimable Jésus, permettez-moi de m’adresser à vous pour vous témoigner la reconnaissance où je suis de la grâce que vous m’avez faite, en me donnant à votre sainte Mère par la dévotion de l’esclavage, pour être mon avocate auprès de votre Majesté, et mon supplément universel dans ma très grande misère. Hélas ! Seigneur, je suis si misérable que, sans cette bonne Mère, je serais infailliblement perdu. Oui, Marie m’est nécessaire auprès de vous et partout : nécessaire pour vous calmer dans votre juste colère, puisque je vous ai tant offensé tous les jours ; nécessaire pour arrêter les châtiments éternels de votre justice que je mérite ; nécessaire pour vous regarder, pour vous parler, vous prier, vous approcher et vous plaire ; nécessaire pour sauver mon âme et celle des autres ; nécessaire, en un mot, pour faire votre sainte volonté et procurer en tout votre plus grande gloire. Ah ! que ne puis-je publier par tout l’univers cette miséricorde que vous avez eue envers moi ! Que tout le monde ne connaît-il que, sans Marie, je serais damné ! Que ne puis-je rendre de dignes actions de grâces d’un si grand bienfait !
        Marie est en moi, [haec facta est mihi]. Oh ! quel trésor ! Oh ! quelle consolation ! Et je ne serais pas, après cela, tout à Elle ! Oh ! quelle ingratitude, mon cher Sauveur ! Envoyez-moi plutôt la mort que ce malheur m’arrive : car j’aime mieux mourir que de vivre sans être tout à Marie. Je l’ai mille et mille fois prise pour tout mon bien, avec saint Jean l’Évangéliste, au pied de la Croix, et je me suis autant de fois donné à Elle ; mais, si je ne l’ai pas encore bien fait selon vos désirs, mon cher Jésus, je le fais maintenant comme vous le voulez que je fasse ; et si vous voyez en mon âme et mon corps quelque chose qui n’appartienne pas à cette auguste Princesse, je vous prie de me l’arracher et de le jeter loin de moi, puisque, n’étant pas à Marie, il est indigne de vous.
        Ô Saint-Esprit ! accordez-moi toutes ces grâces, et plantez, arrosez et cultivez en mon âme l’aimable Marie, qui est l’Arbre de vie véritable, afin qu’il croisse, qu’il fleurisse et apporte du fruit de vie avec abondance. Ô Saint-Esprit ! donnez-moi une grande dévotion et un grand penchant vers Marie votre divine Épouse, un grand appui sur son sein maternel et un recours continuel à sa miséricorde, afin qu’en Elle vous formiez en moi Jésus-Christ au naturel, grand et puissant, jusqu’à la plénitude de son âge parfait. Ainsi soit-il.


- IV -

ORAISON à MARIE

ou renouvellement 

de la Consécration du Saint Esclavage

 

           Je Vous salue, Marie, Fille bien-aimée du Père Éternel ; je vous salue, Marie, Mère admirable du Fils ; je vous salue, Marie, Épouse très fidèle du Saint-Esprit ; je vous salue, Marie, ma chère Mère, mon aimable Maîtresse et ma puissante Souveraine ; je vous salue, ma joie, ma gloire, mon cœur et mon âme ! Vous êtes toute à moi par miséricorde, et je suis tout à vous par justice. Et je ne le suis pas encore assez : je me donne à vous tout entier de nouveau, en qualité d’esclave éternel, sans rien réserver pour moi ni pour autre. Si vous voyez encore en moi quelque chose qui ne vous appartienne pas, je vous supplie de le prendre en ce moment, et de vous rendre la Maîtresse absolue de mon pouvoir ; de détruire et déraciner, et d’y anéantir tout ce qui déplaît à Dieu, et d’y planter, d’y élever, d’y opérer tout ce qu’il vous plaira.
        Que la lumière de votre foi dissipe les ténèbres de mon esprit ; que votre humilité profonde prenne la place de mon orgueil ; que votre contemplation sublime arrête les distractions de mon imagination vagabonde ; que votre vue continuelle de Dieu remplisse ma mémoire de sa présence ; que l’incendie de la charité de votre Cœur dilate et embrase la tiédeur et la froideur du mien ; que vos vertus prennent la place de mes péchés ; que vos mérites soient mon ornement et mon supplément devant Dieu. Enfin, ma très chère et bien-aimée Mère, faites, s’il se peut, que je n’aie point d’autre esprit que le vôtre pour connaître Jésus-Christ et ses divines volontés ; que je n’aie point d’autre âme que la vôtre pour louer et glorifier le Seigneur ; que je n’aie point d’autre cœur que le vôtre pour aimer Dieu d’un amour pur et d’un amour ardent comme vous.
        Je ne vous demande ni visions, ni révélations, ni goûts, ni plaisirs, même spirituels. C’est à vous de voir clairement sans ténèbres ; c’est à vous de triompher glorieusement à la droite de votre Fils dans le Ciel, sans aucune humiliation ; c’est à vous de commander absolument aux Anges et aux hommes et aux démons, sans résistance, et enfin de disposer, selon votre volonté, de tous les biens de Dieu, sans aucune réserve. Voilà, divine Marie, la très bonne part que le Seigneur vous a donnée et qui ne vous sera jamais ôtée : ce qui me donne une grande joie. Pour ma part ici-bas, je n’en veux point d’autre que celle que vous avez eue, savoir : de croire purement, sans rien goûter ni voir ; de souffrir joyeusement, sans consolation des créatures ; de mourir continuellement à moi-même, sans relâche ; et de travailler fortement jusqu’à la mort, pour vous, sans aucun intérêt, comme le plus vil des esclaves. La seule grâce que je vous demande, par pure miséricorde, c’est que, tous les jours et moments de ma vie, je dise trois fois Amen : Ainsi soit-il, à tout ce que vous avez fait sur la terre, lorsque vous y viviez ; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites à présent dans le Ciel ; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites en mon âme, afin qu’il n’y ait que vous à glorifier pleinement Jésus en moi pendant le temps et l’éternité. Ainsi soit-il. 
 

« Je suis tout à vous et tout ce que j’ai je vous l’offre,
 ô mon aimable Jésus, par Marie, votre sainte Mère. »

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(
CONSÉCRATION montfortaine "À JÉSUS par MARIE",
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