mardi 1 décembre 2015

TOUS les SAINTS des 3 ORDRES de Saint FRANÇOIS (29 novembre)

« Le saint François d’Assise que nous présentent certains modernes, 
et qui sort de l’imagination des modernistes, 
cet homme réservé dans son obéissance au Siège apostolique, 
spécimen d’une vague et vaine religiosité, 
n’est à coup sûr ni François d’Assise ni un saint. »

(Benoît XV, Lettre encyclique "Sacra propediem" du 6 janvier 1921)


« Mon livre, c'est Jésus crucifié ! » 

(Saint François d'Assise)



« Il en est beaucoup qui servent mieux le bon Dieu
sans avoir le recueillement qu’ils désirent
que s’ils l’avaient en effet,
car alors ils se conduisent avec plus de soin et d’humilité,
tandis qu’autrement ils se laisseraient peut-être aller à la vanité
et par suite à la tiédeur,
persuadés qu’ils ont trouvé ce qu’ils cherchaient. »




« Sans la prière, 
on ne peut pas espérer qu’une âme 
produise jamais quelque bon fruit. »

(Saint François d’Assise)


LITANIES DE SAINT ANTOINE DE PADOUE



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https://youtu.be/MQmTfOVfimc

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PAROLES ici :


« L’accomplissement de la Volonté de Dieu 
est la plus grande consolation 
que je puisse goûter en cette vie. »

(Saint François d’Assise)


« On ne peut rien attendre de bon 
d’un homme qui ne prie pas. » 

(Saint François d’Assise)


La Prophétie de St François d'Assise relative à l'Exterminateur :

 


« Saint Dominique étant en prière, 
vit Jésus-Christ tenant trois javelots en mains, 
qu’il était prêt de lancer sur les pécheurs. 
Mais la bienheureuse Vierge, priant son Fils pour eux, 
lui présenta deux de ses plus fidèles serviteurs, 
saint Dominique et saint François, 
qui allaient prêcher partout la pénitence ; 
et Notre-Seigneur, apaisé par les prières de sa Mère, 
quitta le dessein qu’il avait pris de perdre le monde. »

(Le Père Jean Crasset)




Bienheureuse ISABELLE de FRANCE,
priez pour nous.


À  Longchamps, près de Boulogne,
la Bienheureuse Isabelle de France,
vierge et fondatrice du monastère de ce lieu,
sœur de Saint Louis,
qui fut béatifiée par le Pape Léon X.
(31 août)
 
 

LES BONNES SŒURS DES TIERS-ORDRES

(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)



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https://youtu.be/0hDf2vCzgGM


SŒUR FRANÇOISE :
1a- N’êtes-vous point la Sœur dévote
De saint François ?
Votre air recueilli le dénote
Plus d’une fois.

SŒUR DOMINIQUE :
1b- Je suis Sœur de saint Dominique,
Qu’en dites-vous ?

SŒUR FRANÇOISE :
1c- Et l’un et l’autre est séraphique,
Unissons-nous.

SŒUR DOMINIQUE :
2a- Je veux devenir Dominique
En charité.

SŒUR FRANÇOISE :
2b- Je veux devenir séraphique
En pauvreté.

SŒUR DOMINIQUE :
2c- Je dis et prêche le Rosaire :
Voilà mon choix.

SŒUR FRANÇOISE :
2d- Pour moi, je ne sais qu’au Calvaire
Jésus en Croix.

SŒUR DOMINIQUE :
3- Pourquoi nous ferions-nous la guerre,
Ma chère Sœur ?
Nos saints se sont aimés sur terre
Avec ardeur.
Ils ont tous deux la même gloire
Dans le Seigneur.
Ma chère Sœur, il faut nous croire :
N’ayons qu’un cœur.

SŒUR FRANÇOISE :
4- Tous les deux sont grands patriarches
Du même temps.
Tous les deux sont de vives arches
Du Testament.
Ils sont deux serviteurs fidèles,
En vérité,
Et deux très excellents modèles
De sainteté.

SŒUR DOMINIQUE :
5- Si l’un trouve sur le Calvaire
Son élément,
L’autre le trouve en son Rosaire
Également.
L’un a sa chair toute percée
Comme son Dieu.
Et l’autre a son âme embrasée
Du même feu.

SŒUR FRANÇOISE :
6- Ils sont les enfants de Marie
Les plus chéris :
Elle donne à tous deux la vie
Dans son cher Fils.
L’un à Notre Dame des Anges
Est enrichi,
L’autre à publier ses louanges
Est agrandi.

SŒUR DOMINIQUE :
7- Nos deux ordres sont tout semblables,
Ma chère Sœur.
Nos habits ne sont dissemblables
Qu’en la couleur.
Pour nous animer davantage
Au pur amour,
Parlons ici son saint langage
Et tour à tour.

SŒUR FRANÇOISE :
8- Mon habit de couleur de cendre,
Ou gris ou brun,
Ne marque ni ne fait entendre
Rien de commun ;
Il marque la persévérance
Dans sa longueur,
La pauvreté, la pénitence
Dans sa couleur.

SŒUR DOMINIQUE :
9- Mon habit noir, si l’on le sonde
De bout en bout,
Ne marque que mépris du monde,
Que mort à tout.
Ma tunique blanche et cachée 
Fait fort bien voir
Que mon âme est ressuscitée
Sous l’habit noir.

SŒUR FRANÇOISE :
10- Nos deux habits, ma chère amie,
Figurent bien
Toutes les vertus de la vie
D’un bon chrétien :
La pauvreté, la pénitence,
La pureté,
La charité, la patience,
L’humilité.

SŒUR DOMINIQUE :
11- L’oraison est ma nourriture
De tous les jours.
Quoique la chair gronde et murmure,
J’y suis toujours.
Quand j’y suis aride ou distraite
Par le malin,
J’y persévère en paix parfaite
Jusqu’à la fin.

SŒUR FRANÇOISE :
12- Je fais en tout l’obéissance
Aveuglément.
Je ne me fie à ma prudence
Aucunement.
Mon cher Père, que faut-il faire ?
Dites-le moi.
Manger, jeûner, parler, me taire ?
Donnez la loi.

SŒUR DOMINIQUE :
13- Je prêche par la modestie
En me taisant,
Mon air doux et simple édifie
Tacitement.
J’ai le visage sans grimace
Et sans aigreur,
Plein de joie et de bonne grâce,
Plein de douceur.

SŒUR FRANÇOISE :
14- Je ne suis aigre ni piquante
En reprenant,
Je suis douce et condescendante
En châtiant.
Je fais offre à chaque personne
De la servir ;
Quand je donne ou quand je pardonne,
C’est mon plaisir.

SŒUR DOMINIQUE :
15- Avec beaucoup de confidence
Je parle ici.
Le lundi je fais abstinence
Et mercredi ;
Je jeûne l’Avent, le Carême,
Les quatre-temps,
Les vigiles, samedi même,
Exactement.

SŒUR FRANÇOISE :
16- Pour satisfaire à la justice
D’un Dieu vengeur,
Je prends en secret le cilice
Avec ferveur,
La discipline ou la ceinture,
Malgré mes sens,
Couchant sur la paille ou la dure
Presqu’en tous temps.

SŒUR DOMINIQUE :
17- Je me confesse et communie
Fort fréquemment,
Afin de recevoir la vie
Et l’aliment.
Je dis chaque jour d’ordinaire
Mon chapelet,
Quelquefois même mon Rosaire,
Pour plus parfait.

SŒUR FRANÇOISE :
18- Ma Sœur, je ne puis pas vous dire
Combien mon cœur
Recherche, soupire et désire
Dieu, Mon Sauveur.
Jésus en Croix est ma sagesse
Et mon séjour,
C’est mon honneur, c’est ma richesse,
C’est mon amour.

SŒUR DOMINIQUE :
19- Je vais par Jésus à son Père
Très dignement.
Je vais à Jésus par sa Mère
Très sûrement.
Je fais tout en elle et par elle,
C’est mon attrait,
Pour être à Dieu toujours fidèle,
C’est mon secret.

SŒUR FRANÇOISE :
20- La dernière étant la première,
A dit mon Dieu,
Je prends, comme étant la dernière,
Le plus bas lieu,
Sans orgueil et sans flatterie,
Sans vanité ;
Aux pieds de tous je m’humilie
En vérité.

SŒUR DOMINIQUE :
21- Anathème au monde, anathème,
Dis-je en mon cœur,
Car je n’ai qu’une horreur extrême
Pour ce trompeur.
Ses menaces ni ses promesses,
Ni son faux bien,
Ni ses mépris, ni ses caresses
Ne me font rien.

SŒUR FRANÇOISE :
22- Ne disputons jamais des grâces
Des bienheureux :
Ne pensons qu’à suivre leurs traces
Dans ces bas lieux.
Dominique et François revivent
En sainteté,
Si les Frères, les Sœurs, les suivent
En vérité.

SŒUR DOMINIQUE : 
23a- Chantons, ma Sœur, chantons, mon Frère,
Et tout à tour :
« Vive Jésus ! Vive sa Mère !
Vive l’Amour !
Vive Marie en ses délices
Rien n’est plus doux ! »

SŒUR FRANÇOISE :
23b- « Vive Jésus en ses supplices !
C’est mon Époux. »

PRIÈRE DE SŒUR FRANÇOISE
ET DE SŒUR DOMINIQUE :

24- « Ô Jésus, notre aimable Frère,
Sauvez-nous tous !
Ô notre très aimable Mère,
Priez pour nous !
Grands saints François et Dominique,
Nous vous prions
De nous faire mettre en pratique
Vos actions. »

25- Un prêtre a besoin de sagesse,
Donnez-la lui,
Il ne veut point d’autre richesse
Ni d’autre appui.
Et par Jésus, et par Marie,
Nous vous pressons
De lui donner en cette vie
Ce don des dons.

DIEU SEUL





RÉSOLUTIONS ET PRIÈRES
D’UN PARFAIT ET ZÉLÉ MISSIONNAIRE

(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)


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https://youtu.be/7WmIe3iPoz4


1- C’en est fait, je cours par le monde,
J’ai pris une humeur vagabonde
Pour sauver mon pauvre prochain.
Quoi ! je verrais l’âme de mon cher frère
Périr partout par le péché
Sans que mon cœur en fût touché ?
Non, non, Seigneur, (bis) elle est trop chère !

2- Je verrais cette âme si belle
Tomber dans la mort éternelle
Sans qu’aucun en eût chagrin ?
Quoi ! je verrais le Sang d’un Dieu qui l’aime
Inutilement répandu
Et son prix pour jamais perdu ?
J’aimerais mieux (bis) être anathème !

3- Ah ! Seigneur, chacun vous outrage
Dans l’homme, votre belle image :
Sans parler, je le souffrirais ?
Vos ennemis ravissent votre gloire,
Et je serais de leur côté ?
Plutôt la mort, en vérité !
À moi, Seigneur, (bis) j’aurai victoire !

4- Ô grand Dieu, donnez-moi vos armes
Pour vaincre le monde et ses charmes
Et ce qui s’oppose à vos lois :
Mettez, mettez pour convertir les âmes
En mon âme la sainteté,
En mon esprit la vérité,
Et dans mon cœur, (bis) vos pures flammes !

5- Donnez-moi le don de sagesse
Et cette charité qui presse
Et qui fait un homme divin.
Faites, grand Dieu, de ma bouche un tonnerre
Pour détruire l’iniquité,
Afin que votre volonté
Soit faite au ciel (bis) et sur la terre.

6- C’est à vous, Seigneur, que je vise :
Vous êtes seul mon entreprise !
À vous seul sans respect humain :
Je foule aux pieds le monde et sa figure ;
Si mon zèle plait à vos yeux,
Je me trouverai bienheureux
De devenir (bis) sa balayure.

7- On parcourt pour un grain de sable
La mer et la terre habitable
Avec des travaux infinis :
Pour vous, mon Dieu, je n’aurais aucun zèle ?
Pour gagner le Sang de mon Dieu
Je n’en remuerais pas du lieu ?
Oh ! quel mépris (bis) d’un infidèle !

8- Qu’un cheval tombe sous sa charge,
On est sensible, on le décharge,
Mais pour l’âme on n’a que mépris !
Elle est tombée, elle dort dans le crime,
On ne la relèvera pas :
« Va-t’en, pauvre âme, où tu pourras ;
Meurs en péché, (bis) tombe dans l’abîme ! »

9- Ah ! partout le démon qui tente,
Partout la moisson abondante
Et très peu d’ouvriers de Dieu :
Prions, prions le Père de famille
D’abattre l’orgueil du démon
Et d’envoyer dans sa moisson
Des ouvriers (bis) de l’Évangile.

10- Le soldat bat partout la caisse,
À s’armer un chacun s’empresse :
L’on fait des régiments en peu.
Mais pour défendre un Dieu que l’on offense,
Lève-t-on quelque régiment,
Fait-on quelque saint armement ?
Hélas ! hélas ! (bis) aucun n’y pense !

11- Faux dévot, âme si charnelle,
Repose avec l’homme infidèle :
Dors en paix, tu n’es point blessé,
Rien ne te nuit, aucun ne t’endommage ;
Ne t’embarrasse point d’autrui :
S’il se damne, tant pis pour lui !
Cruel repos, (bis) cruel outrage !

12- Je ne puis reposer une heure,
Ni garder la même demeure
En voyant Jésus offensé :
Hélas ! partout chacun lui fait la guerre !
Le péché règne en tous les lieux,
Les âmes tombent dans les feux :
Je veux gronder (bis) comme un tonnerre !

13- Ô mon Dieu, pour votre Évangile,
Je veux souffrir de ville en ville
Mille affronts, mille et mille maux !
Si par ma vie et le sang de mes veines
Je ne détruis qu’un seul péché,
Si je ne fais qu’un cœur touché,
Vous payez trop (bis) toutes mes peines.

14- Quand je ne sauverais personne,
Je ne perdrais pas la couronne
Préparée à mes seuls travaux :
Car ce n’est pas le fruit qu’on récompense,
Mais la semence qu’on répand,
Mais le travail que l’on y prend.
Le prix convient (bis) à la souffrance !

15- Ô mon Dieu, quoique je vous aime,
J’appréhende tout de moi-même :
Soutenez mon infirmité !
Quand je serais saint comme les apôtres,
Quand j’aurais gagné l’univers,
Je puis tomber dans les enfers,
Voulant sauver (bis) l’âme des autres.

16- Rendez-moi toujours bien fidèle
Dans les pratiques de mon zèle
Aux devoirs de la sainteté :
Que nuit et jour ma source rejaillisse,
Mais cependant sans m’appauvrir ;
Que je prêche pour convertir,
Mais qu’en prêchant, (bis) je me remplisse.

17- Loin de moi ces zélés austères,
Pleins de rigueurs et de colère,
Prétextes de la charité.
Peu de vinaigre avec quantité d’huile
Gagne les esprits et les cœurs,
Convertit les plus grands pécheurs,
Comme l’on voit (bis) dans l’Évangile.

18- Ô mon Dieu, votre seule grâce
Pour m’aider, afin que je fasse
Par sur tout votre Volonté !
Malgré l’enfer, malgré la chair et l’homme,
Je veux vous faire aimer, Seigneur,
Et si ma mort vous fait honneur,
Je suis content (bis) que l’on m’assomme.

19- Que partout j’aie un air modeste,
Un zèle agréable et céleste,
Mais sans fard et sans vanité,
Sans m’appuyer d’aucune flatterie ;
Que je me fasse tout à tous
Avec un cœur ouvert et doux,
Sans rebuter (bis) le pire impie.

20- Je m’attache à l’obéissance :
Elle est mon unique prudence
Pour prêcher avec sûreté,
Car je connais par mon expérience
Que c’est un mal qu’un zèle ardent,
Lorsqu’il n’est pas humble et prudent
Selon les lois (bis) de la science.

21- Loin de moi, pasteurs mercenaires,
Pasteurs, mais grands hommes d’affaires
Qui prêchez, mais par intérêt !
Pour moi, je suis un Dieu pauvre sur terre,
Sans posséder aucun argent
Et sans craindre aussi le sergent,
Sans essuyer (bis) aucune guerre.

22- Quoique je ne plante ni sème,
Je suis plus riche que vous-même :
Croyez-moi, Messieurs, s’il vous plait !
Car il est vrai que ma prudence est fine :
J’ai pris les riches pour fermiers,
J’ai ce qu’il faut de leurs deniers
Et j’ai chez eux (bis) cave et cuisine.

23- Ce n’est pas que je vous méprise,
Si vous n’avez pas pour devise
Ce parfait et grand dénuement ;
Mais apprenez que, par votre avarice,
Vous gagnez peu dans vos travaux,
Vous vous causez de très grands maux,
Et souvent c’est (bis) une injustice.

24- Combien de prêtres inutiles,
Dont les grands talents sont stériles
Faute de ce détachement ?
Ils prêchent bien, on ne peut pas mieux dire,
Mais aucun pécheur n’est touché,
Après qu’ils ont si bien prêché !
Quels fruits ont-ils ? (bis) On les admire.

25- On ne voit plus parmi nous autres
De ces véritables apôtres
Qu’on voyait briller autrefois :
C’est qu’il n’est plus des pauvres volontaires !
On cherche un établissement,
On veut, quoique indirectement,
Un peu d’argent (bis) pour ses affaires.

26- Cet argent est une eau bourbeuse
Qui souille une âme généreuse
Et la fait ramper sous ses lois ;
Ce métal a je ne sais quoi d’infâme
Dont le pur zèle est tout taché :
Quoiqu’il en semble détaché,
Il refroidit (bis) sa pure flamme.

27- Point d’argent : cette lourde masse
Et me captive et me terrasse !
Plus j’en ai, plus je suis rampant,
Mais moins j’en ai, plus mon âme est légère :
Il me rend lourd comme un chameau,
Sans lui, je suis comme un oiseau,
Je vole au ciel (bis) dans la lumière.

28- Mon Jésus, je veux être sage :
Je ne veux que vous pour partage,
Pour mon bien et tout mon valant.
Mon Dieu, vous seul et le salut des âmes,
Sans récompense d’un denier :
Je suis bien riche en mon métier,
Si mon cœur est (bis) riche en vos flammes !

29- Donnez-moi, Seigneur, je vous prie,
Un zèle tout plein d’industrie ;
Montrez-moi toute vérité ;
Embrasez-moi d’une flamme nouvelle !
Enseignez-moi quelque secret
Qui rende l’homme plus parfait,
Plus circonspect (bis) et plus fidèle.

30- Gardez-moi d’un grand précipice :
Du scrupule dans la justice,
De l’esprit de la nouveauté,
Soit dans ma foi, mon zèle ou ma conduite ;
Gardez-moi de l’illusion,
De la fausse dévotion,
Pour ne marcher (bis) qu’à votre suite !

31- Je suis prêt, ô Jésus mon Maître,
De prêcher partout, de paraître,
Soutenu de votre vertu :
Faites de moi votre missionnaire !
Quand je n’aurais de revenus
Que des affronts et des rebuts,
J’en suis content, (bis) cher exemplaire.

32- Ô Marie, ô ma bonne Mère,
Servez-moi d’une armée entière :
Hâtez-vous, je suis combattu !
Que ma parole augmente et fructifie,
Que je rompe l’iniquité
Et que je croisse en sainteté,
Et que mon Dieu (bis) s’en glorifie !

DIEU SEUL





SAINT LÉONARD de PORT-MAURICE (26 novembre) :

PRIÈRES & CANTIQUES



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« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :